Kelly Mwiza ┃Awareness Content Reporter ┃
October 11th marks the International Day of the Girl Child, a day when communities worldwide come together each year to celebrate and champion the rights of girls. But what does it truly mean to be a girl child? Especially in a world where times are changing, and the challenges faced by girls appear to have remained stubbornly persistent. In an ever-changing world flawed by catastrophes, it becomes more evident that, with each crisis, women, particularly girl children, bear the heaviest of the consequences. Whether it's the turmoil of war, the sweeping changes of climate, or major global economic crisis, it's the youth, and within that group, girls, who often experience the harshest repercussions.
This year's theme,"Invest in Girl’s Right: Our Leadership, Our Well-being," as portrayed by Unicef, serves as a reminder of the areas that require attention to enhance the lives and well-being of girls. However, these areas are not new, and the outcomes have remained for the most part unchanged.The enduring call for action might suggest that the call is not heeded, year after year. While there is admirable work being done in communities across the globe, with girls at the forefront, empowering each other, the prevailing power structures that shape structural change often deplete the strength applied to address these problems before significant progress is achieved.The call to action needs to be redirected towards governments and lobby groups, the entities that can provide the necessary resources to drive change. This effort should adopt an interdisciplinary approach to address these persistent issues, as solutions are often provided within specific institutions, such as the Ministry of Gender and Family Promotion.
It's worth noting that the majority of issues afflicting the girl child do not originate from a single source. Instead, they accumulate within specific environments, forming the social determinants of life. To truly make a difference, various entities must develop collaborative strategies to tackle these challenges effectively. Unicef significantly advocates for the creation of spaces for the girl child, at the national level, enabling girls to partake in the decision-making processes that affect them, from policies that serve their interests to clinical settings where maternal health care can be improved, especially to address the unique needs of young girls.
For too long, capitalistic ideas and actions have driven the world, determining what is implemented as long as it yields profit in return. This might explain why, in the past, investing in the girl child may not have seemed profitable or may have appeared to take longer than expected. However, demand has been rising as populations increase each year, and the contributions of every member of society have become increasingly essential. The girl child, a vulnerable population, has often been left behind, requiring comprehensive training to contribute effectively to a growing society. A study published in The Lancet demonstrated that an average cost of just $4.60 per child per year, directed towards improving their physical, mental, and sexual well-being, would yield more than tenfold benefits for societies. Unicef's target to increase investments by $1 billion this year would be a significant step toward realizing this change. However, it's imperative to consider resource allocation, as different societies have varying needs.
There has never been a more opportune time to transform the lives of girls than now. The further they are left behind, the greater the interventions required to rectify the problems. The call to action is a must, and the commitment to girl child empowerment must be firm.
Renforcer l'autonomie des filles : La campagne de l'Unicef "Notre leadership, notre bien-être" et les luttes en cours
Le 11 octobre marque la Journée internationale de la fille, une journée où les communautés du monde entier se rassemblent chaque année pour célébrer et défendre les droits des filles. Mais qu'est-ce que cela signifie vraiment d'être une fille ? Surtout dans un monde où les temps changent et où les défis auxquels les filles sont confrontées semblent rester obstinément persistants. Dans un monde en constante évolution, marqué par les catastrophes, il devient de plus en plus évident qu'à chaque crise, ce sont les femmes, et en particulier les petites filles, qui en subissent les conséquences les plus lourdes. Qu'il s'agisse de la tourmente de la guerre, des changements climatiques radicaux ou d'une crise économique mondiale majeure, ce sont les jeunes, et au sein de ce groupe, les filles, qui subissent souvent les répercussions les plus dures.
Le thème de cette année, "Investir dans le droit des filles : Notre leadership, notre bien-être", présenté par l'Unicef, rappelle les domaines qui requièrent une attention particulière pour améliorer la vie et le bien-être des filles. Toutefois, ces domaines ne sont pas nouveaux et les résultats sont restés pour la plupart inchangés. L'appel à l'action qui perdure pourrait suggérer que l'appel n'est pas pris en compte, année après année. Bien qu'un travail admirable soit accompli dans les communautés du monde entier, avec les filles au premier plan, se donnant mutuellement les moyens d'agir, les structures de pouvoir dominantes qui façonnent les changements structurels épuisent souvent la force appliquée à la résolution de ces problèmes avant que des progrès significatifs ne soient réalisés.L'appel à l'action doit être réorienté vers les gouvernements et les groupes de pression, les entités qui peuvent fournir les ressources nécessaires pour conduire le changement. Cet effort devrait adopter une approche interdisciplinaire pour aborder ces questions persistantes, car les solutions sont souvent fournies par des institutions spécifiques, telles que le ministère du genre et de la promotion de la famille.
Il convient de noter que la majorité des problèmes qui touchent les petites filles n'ont pas une origine unique. Au contraire, ils s'accumulent dans des environnements spécifiques, formant les déterminants sociaux de la vie. Pour vraiment faire la différence, diverses entités doivent élaborer des stratégies de collaboration afin de relever efficacement ces défis. L'Unicef plaide en faveur de la création d'espaces pour les filles, au niveau national, afin de leur permettre de participer aux processus décisionnels qui les concernent, qu'il s'agisse des politiques qui servent leurs intérêts ou des établissements cliniques où les soins de santé maternelle peuvent être améliorés, en particulier pour répondre aux besoins spécifiques des jeunes filles.
Pendant trop longtemps, les idées et les actions capitalistes ont dirigé le monde, déterminant ce qui est mis en œuvre tant que cela rapporte des bénéfices. Cela peut expliquer pourquoi, dans le passé, l'investissement dans les filles n'a pas semblé rentable ou a pris plus de temps que prévu. Cependant, la demande s'est accrue avec l'augmentation annuelle des populations et la contribution de chaque membre de la société est devenue de plus en plus essentielle. Les fillettes, une population vulnérable, ont souvent été laissées pour compte et ont besoin d'une formation complète pour contribuer efficacement à une société en pleine croissance. Une étude publiée dans The Lancet a démontré qu'un coût moyen de seulement 4,60 dollars par enfant et par an, consacré à l'amélioration de leur bien-être physique, mental et sexuel, produirait des bénéfices plus que décuplés pour les sociétés. L'objectif de l'Unicef d'augmenter les investissements d'un milliard de dollars cette année constituerait un pas important vers la réalisation de ce changement. Toutefois, il est impératif de tenir compte de l'affectation des ressources, car les besoins varient d'une société à l'autre.
Il n'y a jamais eu de moment plus opportun que maintenant pour transformer la vie des filles. Plus elles seront laissées pour compte, plus les interventions nécessaires pour remédier aux problèmes seront importantes. L'appel à l'action est indispensable et l'engagement en faveur de l'émancipation des filles doit être ferme.
References/Références
UNICEF. (2023). International Day of the girl 2023. https://www.unicef.org/gender-equality/international-day-girl-2023#:~:text=%22Invest%20in%20Girls’%20Rights%3A,full%20spectrum%20of%20girls’%20rights
UNFPA. (2017, April 20). Study shows meeting adolescents’ health needs would yield tenfold return. United Nations Population Fund. https://www.unfpa.org/news/study-shows-meeting-adolescents-health-needs-would-yield-tenfold-return
Author links open overlay panelPeter Sheehan DPhil a, a, b, c, d, e, f, g, h, i, j, SummaryInvestment in the capabilities of the world’s 1·2 billion adolescents is vital to the UN’s Sustainable Development Agenda. We examined investments in countries of low income, Patton, G., Gates, M., Stenberg, K., Hoope-Bender, P. ten, Chisholm, D., Jit, M., Levin, C., … Marium, S. (2017, April 19). Building the foundations for sustainable development: A case for global investment in the capabilities of adolescents. The Lancet. https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0140673617308723?via%3Dihub
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